“Septendre” : entre douceur et résistance

“C’est parce que la vie est dure que nous devons être tendres”. Fabrice Midal prend le contrepied et j’aime beaucoup ça, j’ai toujours eu l’esprit de contradiction !
Ce moi-ci je rebaptise cette rentrée 2020 si atypique “septendre”, provocation délicieusement insolente .
J’ai envie que “septendre” devienne un acte de résistance à la colère, à l’inquiétude et aux frustrations.
La tendresse au travail (et ailleurs ! ) chiche ?

 

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